« 42.195«
42.195, c’est la longueur précise, en mètres, d’un marathon.

A vingt ans Zéphyrin Legros rêve de devenir champion de la discipline.
Sur les chemins escarpés de l’entraînement intensif, plusieurs fois il se fourvoie. Un jour il va trop loin et sa vie bascule.
4 mètres, c’est la distance que devra tenter de franchir ce même Zéphyrin Legros à l’âge de quatre-vingts ans, la distance qui sépare le fauteuil sur lequel il est assis de la porte des toilettes de sa chambre à la maison de retraite…
42.195 est un récit qui parle de la trace qu’on laisse derrière soi.
Pour plus de renseignement sur le spectacle éponyme, rendez-vous sur l’onglet « Spectacles / Public adulte ou marcbuleon@hotmail.com
Pour commander : marcbuleon@hotmail.com / 00 33 6 61 89 92 94
Prix : 10€ + port
Bande dessinée
« La geometría de los silencios »
Ouvrage en langue espagnole
Bande dessinée (ouvrage en langue espagnole)
Pour commander : marcbuleon@hotmail.com / 00 33 6 61 89 92 94
Prix : 15€ + port (départ de France)
Témoignage
« Toi, l’Autre moi »
Hommage À huit Conteurs De Sésame Autisme / Livre épuisé!
Livre « Toi, L’autre Moi » – Hommage À Huit Conteurs De Sésame Autisme (Livre épuisé!!)
« Lors de mes premières rencontres avec les adultes de l’association Sésame Autisme 44 je n’ai fait que raconter. Petit à petit nous nous sommes apprivoisés. Ils m’ont alors offert leurs rires, leurs regards qu’ils n’accordent pas à tout le monde, leur confiance.
Avec huit d’entre eux nous avons continué l’aventure cinq années durant. Nous avons cheminé jusqu’à ce qu’ils découvrent, à leur tour, le plaisir de raconter en public, à leur façon si particulière et si forte.
Il fallait bien que je rende hommage à ces huit femmes et hommes qui m’ont tant apporté. Alors j’ai collecté leurs paroles, leurs fragments de phrases, leurs silences. J’ai travaillé cette matière orale comme un sculpteur travaille l’argile et j’en ai fait des portraits. J’ai aussi recueilli les témoignages de leurs parents : paroles émues, mélange de souffrance, d’amour et de joie. Je me suis enfin permis d’écrire ce que je croyais que me disaient, ou me criaient parfois, celles ou ceux qui ne peuvent pas parler. »